
Découvrez quelques success stories en matière de bonne gestion des sols bruxellois
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Héritière d’un riche passé industriel, la Région de Bruxelles-Capitale comprend nombre de parcelles polluées. L’action de la Région vise donc à réhabiliter ces parcelles pour qu’elles puissent accueillir des habitants et des activités économiques. En plus de cela, Bruxelles Environnement a lancé en 2019 la stratégie Good Soil pour protéger et améliorer l’ensemble des sols de la Région.
Voici quelques exemples de success stories autour des sols bruxellois :
Une nouvelle Crèche à Saint-Josse
La commune de Saint-Josse-ten-Noode est la commune la plus densément peuplée de la Région de Bruxelles-Capitale, voire de Belgique (Statbel, 2019). Par ailleurs, la densité de population dépasse les 23.000 hab/km² et la structure par âge est la plus jeune de la Région avec un âge moyen de 34,5 ans (IBSA, 2019). La commune est aussi caractérisée par une natalité importante avec environ 1.300 enfants en âge de crèche (0-3 ans). C’est donc tout naturellement que la commune de Saint-Josse a fait de l’accueil de la petite enfance un sujet prioritaire de sa politique (Note de politique 2018-2024 de la Commune de Saint-Josse-ten-Noode) avec la création de nouvelles structures. Dans ce cadre, des terrains ont été sélectionnés afin d’y construire de nouveaux bâtiments d’accueil.
En 2012, la commune choisit de réaménager complètement la parcelle située à l’intersection de la chaussée de Louvain et de la rue Joseph Dekeyn afin d’y construire une crèche, une maison de l’enfance et 8 logements. Le seul hic, c’est que des études de sol, réalisées précédemment sur la parcelle à aménager, avaient pointé l’existence d’une contamination en plomb dans le sol. Le plomb peut, dans certaines conditions, s’accumuler dans les organismes vivants et causer des dégâts importants sur la santé humaine. Cette pollution du sol devait donc être gérée correctement afin d’offrir un environnement sans risque pour tous les futurs occupants du terrain.
L’entreprise désignée pour le chantier de construction a fait appel à un expert en pollution du sol pour identifier les mesures à entreprendre. Le projet de gestion du risque, préconisé par l’expert et validé par Bruxelles Environnement, visait à faire excaver 90 tonnes de terres contaminées (28 m² sur 1,5 m de profondeur) par une entreprise spécialisée en assainissementTraitement de la pollution affectant un site (sol, eau) afin de le remettre dans son état initial ou du moins atteindre des valeurs fixées légalement. des sols. Des échantillons de sol ont ensuite été prélevés en fond de fouille et sur les parois de la zone excavée afin de s’assurer que l’entièreté des terres contaminées ait bien été extraite. Les terres excavées ont été envoyées dans un centre de traitement des terres afin de les décontaminer et de pouvoir les réutiliser ailleurs. Par la suite, les zones excavées ont été remblayées avec du sableParticules de sol dont la taille est supérieure à 0,05 mm . Les études des sols précédentes avaient aussi pointés la présence de cinq citernes à mazout souterraines, elles ont été vidangées et évacuées par une entreprise spécialisée afin d’éliminer tout risque de nouvelle pollution. Pour finaliser la dépollution du site, une couche de terres propres contrôlées par l’expert en pollution du sol a également été mise en place dans le jardin de la crèche.
La crèche a été inaugurée quelques mois plus tard et accueille à présent 43 enfants de la Commune. Un jardin extérieur engazonné a été aménagé à l’arrière et un passage réservé exclusivement à la mobilité douceMobilité faisant appel aux modes de déplacement non motorisés, principalement le vélo et la marche. traverse le bâtiment afin de rejoindre le parc Felix Delhayer. Aujourd’hui, la pollution du sol présente sur le site a été entièrement traitée et les générations futures jouissent d’un environnement sain pour grandir.
Parc PME Newton : Dépolluer pour mieux rebondir
L’actuel Parc PME Newton à Anderlecht. En 2006, on diagnostiquait une importante pollution du sol et de l’eau souterraine en solvantsC’est une substance liquide utilisée pour dissoudre ou diluer d’autres substances sans les modifier chimiquement. Ils sont utilisés dans des processus très diversifiés tels que le dégraissage, les peintures, les encres, le nettoyage, etc. chlorés sur ce chancre industriel d’un peu moins de 38.000m² qui avait été exploité pour la production de batteries.

L’idée d’y installer un parc PME prend forme grâce à un financement de la Région et du fonds européen FEDER pour la construction des bâtiments et pour le traitement du sol pollué. A l’issue des travaux, le parc PME Newton a été inauguré le 14 février 2014. Il compte 5.540 m² d’ateliers de plain-pied, soit 16 ateliers modulables de 250 à 500 m² chacun, répartis sur deux bâtiments.
Ce projet s'inscrit dans plusieurs objectifs spécifiques puisqu’il favorise, d’une part, le maintien d'acteurs économiques déjà présents dans la zone et qu’il soutient, d’autre part, les projets de relocalisation d’activité anciennement délocalisées.
Grâce aux entreprises installées, le parc Newton vise à créer des emplois en lien avec le profil socio-économique des habitants de la zone d’intervention prioritaire. Par ailleurs, les fonds FEDER, dont le projet a bénéficié, visent également à développer l’emploi peu qualifié dans les zones soutenues. Le parc Newton devrait, à terme, permettre la création de 220 nouveaux emplois.
Notons enfin qu’il atteint un bon niveau d’éco-performance afin de diminuer l’ empreinte écologiqueMesure de la pression exercée par l'homme sur son environnement. Cet outil évalue la surface productive nécessaire à une population pour répondre à sa consommation de ressources et à ses besoins en absorption de déchets. L'empreinte écologique est exprimée en hectares. , de faire des économies d’énergie, de réduire les impacts environnementaux et d’intégrer esthétiquement le projet dans son cadre. De cette façon, l’activité économique de la zone peut redémarrer, tout en respectant et en améliorant le cadre de vie du quartier.
Un tel exemple prouve donc qu’une parcelle polluée peut être une opportunité pour l’implantation et le développement de nouveaux projets bénéfiques pour la Région. La politique des sols pollués défendue et menée par Bruxelles Environnement est donc essentielle pour un développement durableMode de développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre à leurs propres besoins. Il s'agit donc d une démarche qui vise à assurer la continuité dans le temps du développement économique et social, dans le respect de l'environnement, et sans compromettre les ressources naturelles indispensables à l'activité humaine. qui intègre l’ensemble des paramètres environnementaux, sociaux et économiques de la Région de Bruxelles-Capitale.
Le Parc L28 : un sol assaini pour une meilleure qualité de vie
Suite aux travaux d’aménagement achevés en 2014, le parc L28 s’est transformé en un cadre agréable composé d’espaces verts et d’aires de détente. Il s’étire le long des voies de métro et de chemin de fer entre les stations Belgica et Pannenhuis.


Par le passé, le paysage était fort différent. Au début du 20ème siècle, en pleine révolution industrielle, le site était occupé par une voie de chemin de fer sans issue qui longeait la ligne 28, ligne qui relie les gares de Bruxelles-Midi et de Schaerbeek en contournant le centre par l’ouest. Cette voie secondaire servait à parquer les trains de marchandises (ou à effectuer quelques réparations) avant leur entrée sur le site de Tour et Taxis avec ses entrepôts de marchandises et son bureau de dédouanement. Avec le déclin progressif du site de Tour et Taxis, la voie sans issue perd son intérêt et est laissée à l’abandon. Entre les années 1940 et les années 2000, le site du parc actuel est successivement occupé par de petits entrepôts, des dépôts de voitures d’occasion et est même utilisé comme décharge clandestine.

En 2004, lorsque le site est identifié par Beliris pour y aménager un nouveau parc urbain, la zone est une fricheZone de terrain laissée à l'abandon et progressivement colonisée par la végétation spontanée. urbaine qui est entièrement colonisée par une végétation abondante. Des études de sol confirment rapidement les suspicions de pollution du sol que Bruxelles Environnement avait prédites en ajoutant le site à l’inventaire de l’état du sol. Grâce aux études réalisées, plusieurs taches de pollution sont mises en évidence avec des concentrations importantes en huiles minérales et en composés organochlorés, notamment dans le terre-plein le long des voies et à proximité de l’avenue Jean Dubrucq. Des quantités importantes de matériaux de remblais tels que des cendrées, pollués en métaux lourdsNom générique d'un groupe de métaux de densité relativement élevée, tels que le plomb, le mercure, le zinc et le cadmium. Ces métaux sont présents naturellement dans l'environnement et sont même nécessaires à certains processus naturels. Ils sont toutefois nocifs en concentrations élevées. Les principales sources de métaux lourds sont l'industrie non ferreuse, la combustion de combustibles fossiles, l'incinération de déchets et le trafic. et en hydrocarburesCe sont des composés organiques liquides constitués de carbone et d’hydrogène dérivés du pétrole. Le mazout, l’essence et d’autres types d’huiles minérales en font partie. Ces huiles ont la particularité d’avoir une faible densité. Lorsqu’elles s’infiltrent dans le sol, elles peuvent atteindre l’eau souterraine et y former une couche flottante. aromatiques polycycliques (HAP), sont également observées, principalement au niveau du terre-plein, mais aussi dans le talus situés à l’arrière des bâtiments de l’avenue Jean Dubrucq.
Un projet d’aménagement du site est donc mis sur pied avec la collaboration d’un bureau d’étude de sol de Beliris, de Infrabel et de Bruxelles Environnement. Pour gérer les risques environnementaux et humains liés aux pollutions du sol, des excavations sont entreprises au niveau du terre-plein situé le long des voies et des actuelles plaines de jeux, à proximité de l’avenue Dubrucq. Ensuite, une couche de terre saine est étalée au-dessus des remblais sur le terre-plein. Enfin, pour préserver la stabilité des bâtiments de l’avenue, il est décidé en concertation avec tous les acteurs du chantier de conserver le talus et la végétation qui s’y est développée, tout en y installant une barrière afin d’empêcher l’accès à cette partie de site qui présente encore des pollutions.
Bruxelles Environnement a suivi ce chantier du début à la fin pour accompagner et conseiller les acteurs qui œuvraient dans ce dossier. « Lors des conflits entre les acteurs du chantier, notre rôle est aussi de statuer en privilégiant toujours les aspects environnementaux dans le respect de la législation. Le talus du parc L28 en est un parfait exemple. » explique l’agent traitant de ce dossier à Bruxelles Environnement. « Par la suite, il faut reconnaitre que, personnellement, c’est très valorisant de voir les habitants du quartier se réapproprier pleinement cet espace de vie » continue l’agent traitant.
Aujourd’hui, le bénéfice pour le quartier est évident. Le site est à la fois devenu un parc et une liaison verte pour la mobilité douceMobilité faisant appel aux modes de déplacement non motorisés, principalement le vélo et la marche. . Par ailleurs, le parc offre des aires de jeux, des terrains multisports ainsi que des espaces de repos variés.

Dans le futur, ce parc fera partie d’un des plus grands espaces verts bruxellois qui reliera les stations de métro Belgica et Bockstael au site du Tour et Taxis jusqu’au canal. C’est autour de cette coulée verte que se développeront les nouveaux projets immobiliers sur le site de Tour et Taxis.
Potagers du Scheutbos : un sol sain pour un nouveau départ
Un sol sain et de qualité pour tous les bruxellois et surtout pour ceux qui pratiquent l’agriculture urbaine, telle est la stratégie Good Soil de Bruxelles Environnement. Bien que cette stratégie ait officiellement débutée en 2019, les sols ont toujours été au cœur des préoccupations de BE. La preuve en est, avec les potagers du Scheutbos qui ont été complètement réaménagés suite à la découverte de pollutions dans les sols. Aujourd’hui les bruxellois peuvent cultiver sereinement la terre en ayant l’assurance de consommer des produits sains.
Historiquement, le parc du Scheutbos (Molenbeek) a toujours été consituté d’un ensemble de bois, de zones cultivés et de prairies humides. La zone actuelle des jardins potagers, située sur la bordure sud-est du parc, est un vestige d’une vaste zone maraîchère qui apparaissait déjà sur les cartes de Ferraris en 1777. Depuis 1992, Bruxelles Environnement a repris la gestion de l’ensemble du site, dont les potagers collectifs, avec l’objectif de : sauvegarder l’écologie, favoriser les contacts sociaux et aménager des zones récréatives et éducatives.

En 2012, Bruxelles Environnement fait exécuter plusieurs études de sol dans et autour des jardins potagers pour connaitre la qualité des terres présentes sur le site. Ces études mettent en évidence la présence de divers éléments toxiques comme du plomb ou des hydrocarburesCe sont des composés organiques liquides constitués de carbone et d’hydrogène dérivés du pétrole. Le mazout, l’essence et d’autres types d’huiles minérales en font partie. Ces huiles ont la particularité d’avoir une faible densité. Lorsqu’elles s’infiltrent dans le sol, elles peuvent atteindre l’eau souterraine et y former une couche flottante. aromatiques polycycliques avec des concentrations dépassant les seuils autorisés dans la Région de Bruxelles-Capitale. Les études démontrent aussi que présence de ces polluants est incompatible avec une activité maraichage sur le site ce qui entraine la fermeture du site. En effet, il existe des risques pour la santé humaine via l’ingestion de terre ou la consommation de certains légumes. L’origine des pollutions est incertaine mais semble provenir des remblais de mauvaise qualité qui ont été déversés sur le site à une époque où l’on se souciait peu de la qualité des sols.
Dans les années qui suivent, un grand projet de réaménagement des jardins potagers du Scheutbos est mis sur pied et financé par Bruxelles Environnement. L’objectif est d’assainir le site en gérant le risque de pollution dans les jardins potagers. Parmi les différentes techniques possibles, la solution retenue constitue en l’ajout d’une couche de 50 cm de terre saine qui ont préalablement été analysées. Ces terres sont séparées des terres polluées par un géotextile (voir photo) pour éviter leur contamination via le labour ou la bioturbation naturelle du sol qui pourrait à nouveau mélanger les terres saines et les contaminants. Bruxelles Environnement a aussi profité de ces travaux pour revoir les chemins au sein du potager et l’écoulement des eaux en bordure avec l’agrandissant de l’étang à l’est du site.
Aujourd’hui, une quarantaine de parcelles potagères ont été réhabilitées et les bruxellois peuvent y cultiver sereinement leurs légumes dans un cadre presque champêtre. Afin de préverser les sols pour les générations futures, Bruxelles Environnement appelle à une culture respectueuse de l’environnement où l’utilisation de pesticides est interdite.
L’IQSB-pro: retour sur la première étude réalisée à Watermael-Boitsfort
En novembre 2021, la commune de Watermael-Boitsfort a fait réaliser la première étude IQSB-pro, pour analyser les sols du quartier Archiducs.
L’IQSB, c’est quoi ?
L’Indice de Qualité des Sols Bruxellois (IQSB) a été développé par Bruxelles Environnement dans le cadre de la stratégie Good Soil. L’outil vise à évaluer la qualité des sols et est décliné en 2 versions : IQSB-Citoyen et IQSB-pro, cette dernière étant destinée principalement aux aménageurs ou porteurs de projets immobiliers.
Pourquoi calculer l’IQSB d’un quartier ?
Le Quartier Archiducs fait l’objet d’un projet Plan Particulier d’Affectation du Sol ( PPASLe PPAS (plan particulier d'affectation du sol) est un outil de planification communale qui détermine, avec précision, de manière graphique et littérale, la manière dont doit s'organiser le territoire considéré. Ses dispositions sont contraignantes à l'égard de tous et conditionnent la délivrance des permis d urbanisme. ). Le PPAS, qui est en cours d’élaboration, est un outil réglementaire de planification urbaine. Dans le cadre de l’élaboration du PPAS, la commune a souhaité évaluer la qualité des sols du quartier Archiducs en commandant une étude IQSB à un bureau d’expert sol.
Comment cet IQSB a-t-il été calculé ?
L’étude se concentre sur plusieurs zones distinctes du quartier Archiducs, parmi lesquelles (voir carte) :
- Le square Archiducs
- Un terrain de sport
- Un terrain vague
- Des zones boisées (Bois Petit Cailles et Bois Archiducs)
- Une ferme (Chant des Cailles)
Pour calculer l’IQSB, des observations et échantillonnages ont d’abord eu lieu dans chaque zone afin d’analyser les propriétés physiques, biologiques et chimiques des sols. Pour chaque zone, ces analyses ont permis de calculer une valeur IQSB spécifique à partir d’une quinzaine de mesures.
En complément, l’IQSB analyse les services écosystémiquesEnsemble des services rendus par les sols à l’environnement et de facto à notre société : fourniture d’eau potable, limitation des inondations, stockage du Carbone atmosphérique, support pour la faune et la flore...) rendus par les sols de ces différentes zones, en considérant 4 catégories : services d’approvisionnement, de régulation, culturels et de soutien. Finalement, différentes menaces sur les sols (comme la compaction ou la présence d’espèces invasives) sont ensuite analysées pour les différentes zones.

Les résultats
L’exercice attribue une valeur IQSB à chaque zone, qui progresse ici de 57 (pour le terrain de sport et la zone basse du Bois Archiducs) à 87 (pour le Bois Petit Cailles). Les valeurs les plus élevées étant synonymes de sol de meilleure qualité. L’IQSB des différentes zones est représenté sur la carte.
De plus, des interprétations sont fournies pour chacune des zones, par exemple :
- Les sols du Square Archiducs présentent de bonnes caractéristiques physiques et biologiques. Parallèlement, à cet endroit différents services écosystémiquesEnsemble des services rendus par les sols à l’environnement et de facto à notre société : fourniture d’eau potable, limitation des inondations, stockage du Carbone atmosphérique, support pour la faune et la flore...) sont atteints, comme le fait d'abriter de nombreux micro-organismes ou d'offrir un espace de loisir aux habitants des alentours ;
- Le terrain de sport est compacté, compte tenu des activités sportives qui y ont lieu. Cela limite la capacité d’infiltration du sol : en cas de fortes pluies, il risque d’y avoir du ruissellement ;
- Les sols du Bois Petit Cailles remplissent tous les services écosystémiques étudiés.
Conclusion
Les résultats obtenus donnent une indication sur la qualité des sols des différentes zones. Ils permettent d’objectiver la qualité des sols et, en ce sens, de guider le PPASLe PPAS (plan particulier d'affectation du sol) est un outil de planification communale qui détermine, avec précision, de manière graphique et littérale, la manière dont doit s'organiser le territoire considéré. Ses dispositions sont contraignantes à l'égard de tous et conditionnent la délivrance des permis d urbanisme. lors de son élaboration. En effet, l’objectif principal de l’IQSB-pro est de permettre à tout porteur de projet d’identifier les sols de meilleure qualité pour les préserver, en les affectant par exemple au développement de la nature et la biodiversitéDiversité d'espèces vivantes, capables de se maintenir et de se reproduire spontanément (faune et flore)..
La qualité du sol au coeur de vos projets
Intégrez la notion de qualité du sol dans la conception de votre projet urbanistique avec l'indice IQSB-PRO.