
Bien faire ses courses
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Il n’y a pas que ce qu’on met dans son caddy qui est important pour réduire son impact sur l’environnement. Comment et où on achète, ça compte aussi !
Le déplacement
On ne fait pas tous les jours de gros ravitaillements. Pour les petites courses et le dépannage, on peut franchement se passer de voiture. Pourtant, 30% des déplacements à Bruxelles concernent encore des distances inférieures à 2 km.
A pied, en vélo, en transports collectifs, il y a moyen de faire autrement. Pensez aussi à la commande en ligne et la livraison à domicile : le transport groupé permet de rationaliser la mobilité en ville.
Le choix du magasin
On trouve aujourd’hui des produits écologiques un peu partout : supermarchés, magasins de proximité et marchés, il y a le choix. Mais autant réfléchir à la distance et à l’accessibilité, pour pouvoir se passer de voiture!
Certains magasins proposent plus de choix que d’autres et permettent de prendre en compte des critères sociaux : c’est le cas, par exemple, des magasins bios, des magasins de l’économie sociale ou des magasins du commerce équitable.
Les filières courtes
De plus en plus de systèmes se mettent en place pour favoriser les achats en direct du producteur : paniers bios, groupes d’achat solidaires de l’agriculture paysanne (GASAP), plates-formes d’achat aux producteurs locaux… On y trouve des produits bios, bons et locaux.
Le transport des achats
La durée de vie moyenne d’un sac plastique jetable est de 20 minutes et l’énorme quantité de sacs jetés chaque année pèse lourd en matière de pollution et de déchets. Sacs réutilisables, caisses ou caddy : pensez-y en partant faire vos courses et réutilisez-les!
La liste
Ne l’oubliez plus sur la table de la cuisine ! Une liste vous permet de limiter les achats impulsifs et de contrôler votre budget. Vous risquez moins de gaspiller.
